Plus de 100 films à voir absolument pendant vos vacances

1) Les Évadés – Franck Darabout (1994)

Un film sur la détention et les institutions qui nous conditionnent, une leçon de courage et de liberté, une démonstration sur la force de l’espoir et de la ténacité. Des personnalités à découvrir à travers des acteurs exceptionnels ; philosophie et humour, violence et émotion au programme d’une intrigue palpitante.

Les évadés - Impressionnant, émouvant, inoubliable!

Les évadés – Impressionnant, magnifique, inoubliable ! (DR)

2) Tel père, tel fils – Horikazu Koreeda (2013)

Tradition et filiation, paternité et éducation. Quand l’attachement d’un père à son enfant transcende la génétique et le droit. Un film bouleversant qui donne à penser et à ressentir à propos de questions existentielles et fondamentales.

Un film Japonnais sur l'éductaion et la filliation

Une famille japonaise pour dire les secrets de la filiation (Photo FilmKino Text)

3) La Vie des autres – Florian Henckel (2006)

Allemagne de l’Est, drame du quotidien sous oppression du totalitarisme, engagement politique et résistance. Les idéologies qui dominent le monde ne sont-elles que des modes passagères ?

Régime totalitaire et créativité

La Vie des autres – Régime totalitaire et résistance créative (Photo Océan Film)

4) Gladiator – Ridley Scott (2000)

Péplum, histoire, romance, psychologie, action, grand spectacle, costumes, intrigue et réflexion sur le politique. Une bande-son à couper le souffle, des images exceptionnelles, un scénario haletant et passionnant.

La dialectique de l'esclave qui défia l'empire

La dialectique de l’esclave qui défia l’empire (Photo U. I. P. )

5) Shrek – Andrew Adamson (2001)

Le film d’animation le plus drôle et le plus vivant de la décennie, au service d’un anti-style des films pour enfants. Un régal pour grand et petits qui a littéralement révolutionné le concept de « dessin-animé ».

Il n'y a de monstrueux que les clichés

Il n’y a de monstrueux que les clichés (Photo DreamWorks SKG)

6) The Truman Show – Peter Weir (1998)

Avec pour potentiel la possibilité de concrétiser des idées aussi brillantes, le cinéma justifie déjà son droit d’être considéré comme un art majeur. Liberté déterminisme, identité, authenticité et représentation de soi. Lacan appelait cela : Réel, Symbolique et Imaginaire.

7) Shutter Island – Martin Scorsese (2010)

Thriller, spectacle, psychiatrie et jeu d’acteurs hors-norme. Un véritable coup de poing, un périple inoubliable.

Une ile aussi complexe qu'une âme de psychotique

Une île aussi complexe qu’une âme de psychotique (Photo Paramont Picture France)

8) Une séparation – Ashgar Fahardi (2010)

Une mise en scène époustouflante de la dialectique entre vérité et justice. Un exotisme simple et radical, une réflexion profonde et sans pareille sur les enjeux intersubjectifs de notre rapport à la réalité.

9) Le Secret de Brokeback Mountain – Ang Lee (2005)

Le plus beau film sur la force des amours impossibles ou contrariées, une marée d’émotions et de beauté portée par la puissance d’un drame à la fois singulier et complètement universel.

Un amour pas comme les autres, plus intense encore que tous les autres

Un amour pas comme les autres, plus intense et plus impossible encore (Photo D.R.)

10) Kill Bill – Quentin Tarentino (2003)

Du cinéma inventif, créatif et créateur d’un nouveau genre, des images inédites, une bande-son décapante, un florilège d’actions, de sensations fortes et d’effets très spéciaux.

11) The Tree of Life – Terrence Malick (2011)

Naissance, apparition et disparition de l’individu au sein de cosmos, et du temps qui le fait comme de celui le défait. Quand la mort surgit pour révéler ce qu’il ne fallait pas dire, l’ordre du monde et de l’existence chavire. Un film étrange et pénétrant, à ne réserver qu’aux âmes ultra-sensibles et perméables aux multiples dimensions de l’humain.

12) Heimat – Edgar Reitz (2013)

Perfection d’un cinéma ou chaque image crée de la poésie et chaque plan est porteur de sens. Témoignage historique, résurgence d’un mode de vie et de sentiments d’autrefois. Une merveille.

Chronique d'un rêve, légende d'autrefois

Chronique d’un rêve, légende d’autrefois (Photo Edgar Reitz Filmproduktion)

13) Un air de famille – Cédric Klapish (1996)

Une constellation familiale très typique en pleine crise, un film plein d’humour de second et de troisième degré, des portraits psychologiques hilarants et décapants. Un bijou de film à la française, un moment de grâce pour un scénario parfait où chaque réplique devient culte.

14) Gangs of New York – Martin Scorsese (2002)

Bill The Butcher, New York au milieu du XIXème siècle, la guerre des gangs et des populations émigrantes en quête d’amour, de reconnaissance et de liberté, fait rage. Un cocktail explosif et lumineux, du très grand cinéma.

15) Le Vent se lève – Ken Loach (2006)

C’est l’histoire de l’Irlande ensanglantée prête à tout pour défendre son autonomie et son indépendance. Un film terrifiant qui braque un projecteur sur l’horreur très particulière des guerres civiles. Elles rappellent que ce sont toujours des frères que nous tuons lors de combats dont les motifs sont le plus souvent éphémères.

16) Gandhi – Richard Attenborough (1982)

Une épopée historique très imagée, puissante, spectaculaire et bouleversante. Un combat digne des plus beaux romans, un cinéma d’une dimension exceptionnelle, qui marquera l’histoire du 7ième Art, à la hauteur de cette personnalité qui a marqué le XXème siècle.

Un maitre à penser pour tout le 20ime siecle

Un maitre à penser pour tout le XXème siècle, l’histoire d’un homme et d’un peuple

17) Chat Noir, Chat Blanc – Emir Kusturica (1998)

Loufoque, poétique, burlesque en enchanteur. Même la misère peut se faire joyeuse et la musique des Balkans qui l’accompagne la transformer en un moment très décalé de grâce et de bonheur. Un foisonnement d’images insolites et d’idées surréelles.

18) Requiem for a Dream – Darren Aronofsky (2000)

Alcool, sexe, drogues et télévision. La force des addictions, de toutes ces spirales qui mènent à l’enfer sous une torture qui ne tue même pas, mais qui a le pouvoir de détruire à l’infini. Un cauchemar qui n’en finit plus, une claque d’une violence sans égal.

19) Django Enchained – Quentin Tarentino (2013)

Une vision à la fois tragique et décalée de l’esclavage des noirs, à travers la thématique récurrente de Tarentino sur la vengeance -ici portée à son paroxysme. Un mélange radicalement inédit de la gravité des propos, des enjeux et des tons employés. Une composition de grande envergure.

20) Mommy – Xavier Dolan (2014)

Riche, coloré, profondément sensible, très esthétique, authentique et poignant. Une chronique de caractère sur l’amour entre mère et fils, un témoignage très personnel et subjectif qui donne à ce film toute sa puissance et sa portée universelle.

Jusqu'où et jusqu'à quand l'amour d'une mère peut-il sauver son enfant?

Jusqu’où et jusqu’à quand l’amour d’une mère peut-il sauver son enfant ? (Photo Shayne Laverdiere)

21) Une seconde femme, Kuma – Umut Dag (2012)

Un scénario exotique, haletant et à tout moment surprenant. Des personnages intenses, tragiques et bouleversants pour une expérience à vivre et à partager avec eux. Un film dont on ne sort pas indemnes.

22) Seven – David Fincher (1995)

Cruel, vibrant et prenant. Le Thriller le plus effrayant et le plus abouti du cinéma.

23) Le Seigneurs des Anneaux – Peter Jackson (2003)

Créer des mondes, des croyances et des modes d’être de civilisations imaginaires, par la force incomparable de décors grandioses et d’effets spéciaux venus d’ailleurs. Dépaysement total et immersion dans l’univers de Tolkien et du réalisateur le plus prolixe.

24) Valse avec Bachir – Ari Folman (2008)

Bande dessinée, psychanalyse, histoire, témoignage, réalisme d’une mémoire traumatisée et onirisme de sa sublimation pour un cinéma qui se fait grand-art. Un chef d’œuvre unique en son genre, virtuose et envoutant.

25) A History of Violence – David Cronenberg (2005)

Un thriller d’une qualité rare ; quand l’action et le grand cinéma se mettent au service d’un scénario qui bouleverse et de personnages dont la radicalité remet tout en question.

Sommes nous condamnés à être rattrapés par notre passé?

Sommes-nous condamnés à être rattrapés par notre passé ? (Photo D.R.)

26) Matrix – Lana et Andy Wachowski (1999)

Quand la philosophie de Platon s’érige en cinéma et que Socrate s’incarne en Néo; une réussite totale et grandiose. « Un Ciel des Idées » spectaculaire, génial et éblouissant.

27) Forest Gump – Robert Zeneckis (1994)

Une chronique critique et humoristique de l’histoire contemporaine des États-Unis et de la mentalité américaine. A savourer sans modération.

28) Le Cœur a ses raisons – Rama Burnshtein (2012)

Peut-on marier le devoir et l’amour ? Peut-il y avoir transfert du deuil sur notre capacité à aimer ? Entre tradition religieuse et réalité intemporelle de la pulsion de vie.

29) Roi et Reines – Arnaud Desplechin (2004)

Quand les règlements de comptes et les légendes font de nous les héros de notre histoire familiale.

30) Cuisines et dépendances – Philippe Muyl (1992)

Humour décapant en huis clos, pour parties de poker qui misent des existences en perdition.

Huis Clos existentiel et humoristique avec les "Ja-Bac"

Huis-Clos existentiel et humoristique avec les « Ja-Bac »

31) Wadjda – Haifaa Al Mansour (2012)

La merveilleuse et bouleversante histoire d’une petite fille saoudienne qui rêvait d’un vélo.

32) Spider – David Cronenberg (2002)

Schizophrénie et ravages incessants de la folie. Ces univers qui basculent dans une humanité mystérieuse.

33) Ne dis rien, le drame de Pilar –Iciar Bollain (2002)

Les femmes battues peuvent-elles se délivrer du mal qui les ronge ?

34) The Magdalein Sisters – Peter Mullan (2001)

Témoignage poignant sur ces couvents irlandais où l’on martyrisait les pensionnaires «maudites» et exclues de la société pour avoir fauté.

35) Boyhood – Richard Linklater (2014)

Une expérience cinématographique et existentielle inédite, réalisée sur 12 années de vie réelle d’acteurs et d’amateurs. Une immersion concrète dans l’espace-temps.

Filmer la durée, saisir la sensation du temps qui passe (Photo BOYHOOD INC.IFC PRODUCTIONS)

Filmer la durée, saisir la sensation du temps qui passe (Photo BOYHOOD INC.IFC)

36) Head On – Fatih Akin (2004)

Une révélation qui fait du cinéma turc un genre dont on ne peut plus se passer. Un moment très fort, des personnages saisissants, une claque venue d’ailleurs.

37) Tout sur ma mère – Perdo Almodovar (1998)

Tout sur Almodovar en un film accompli, éblouissant, généreux, incomparable.

38) Nikita – Luc Besson (1990)

Violent et intense, décalé et même souvent drôle.

39) Burn after reading – Joel et Ethan Coen (2008)

Plus décalé tu meurs, plus hilarant tu te transformes en un film incandescent à consumer sur place, sans modération.

40) Perfect Sense – David MacKenzie (2012)

Que reste t-il de nos amours et de nos passions? Une idée géniale qui donne à penser la manière dont nous avons abusé de nos sensations et détraqué nos sentiments.

Avons-nous perdu notre capacité à ressentir?

Avons-nous perdu notre capacité à ressentir et à aimer ? (Photo Pretty Picture)

41) Les Noces rebelles – Sam Mendes (2008)

Une histoire de couple, de tous les couples qui ont l’exigence de rêver de bonheur et de réussite. Une leçon terrifiante, à la fois intime et universelle.

42) Tu n’aimeras point – Haim Tabakman (2009)

Seule la réalité profonde de ce que nous sommes peut dicter la loi morale au principe de nos actes. Aucune pression sociale ne saurait venir à bout de nos désirs -même profondément refoulés.

43) Fight Club – David Fincher (1999)

Il n’y qu’une règle absolue du Fight Club : s’il reste un mythe, c’est justement parce qu’on ne parle jamais du Fight Club.

44) Million Dollar Baby – Clint Eastwood (2004)

La force que donne le désespoir, la violence de ce qui n’ont plus rien, s’achève pourtant lorsqu’ils réalisent qu’ils avaient quelque chose à perdre.

45) Harry, un ami qui vous veut du bien – Dominique Moll (2000)

Quand le principe de plaisir s’impose à grand fracas dans nos vies condamnées au principe de réalité. Un film simple et puissant, qui remue et qui dérange.

A la moindre des contrariété, Harry est la pour vous sauver

A la moindre des contrariété, Harry est la pour votre plaisir. Mais à quel prix?

46) Raisons et sentiments – Ang Lee (1995)

Un chef d’œuvre incontournable de la littérature anglaise et du cinéma, un classique indémodable, d’une actualité qui reste frappante.

47) Shiva, Les Sept jours – Shlomy et Ronit Elkabetz (2007)

Dire la réalité de la disparition d’un proche en faisant fusionner le concept de deuil avec celui de famille. Réorganiser la place et la fonction de ceux qui sont frappés par la mort.

48) 1984 – Michael Radford (1984)

Cet immense chef d’œuvre d’Orwell que le cinéma rehausse encore par une mise en scène aussi sobre que radicale.

49) Le Goût des autres – Agnès Jaoui (2000)

Une intrigue à la française, profonde et mélancolique, pleine de finesse et d’humour.

50) Légende d’automne – Edward Zwick (1994)

Une fresque inoubliable, romantique à souhait, profonde et sensible.

Le bonheur des uns fait-il le malheur des autres?

Quand le bonheur des uns fait-il le malheur des autres… (Photo D.R.)

51) Sur la route de Madison – Clint Eastwood (1995)

Un film culte sur l’amour intense et passionné « d’une fois » lorsqu’il brise l’attachement de toujours.

52) Un homme d’exception – Ron Howard (2002)

Une histoire vraie et profondément bouleversante qui nous rappelle combien folie et intelligence ne sont pas contradictoires.

53) Les Liaisons dangereuses – Stephen Frears (1988)

D’après le célèbre roman de Laclos, une magnifique adaptation avec une distribution grandiose.

54) Prendre femme – Shlomy et Ronit Elkabetz (2004)

Un drame du quotidien, d’un couple et de sa famille, une tableau expressionniste du tragique quand il s’empare de l’intime.

55) Deux sœurs pour un roi – Justin Chadwick (2008)

Quand les passions gouvernent les hommes, les femmes deviennent les moteurs de l’histoire…

Deux Coeurs pour un As

Deux Cœurs pour un As: le pouvoir comme jeu meurtrier (Photo Wild Bunch Distribution)

56) Un jour sans fin – Harrold Ramis (1993)

Une idée originale, aussi comique que profonde, un film culte qui ne vieillit pas, jour après jour et d’année en année.

57) Mulan – Tony Bancroft (1998)

Le Disney le plus accompli, le plus attractif et exotique, à la fois magique et réaliste, poétique et politique.

58) Cellule 211– Daniel Monzon (2009)

Un film d’une violence rare sur la plastique qu’ont les hommes à se transformer en héros ou en criminels depuis toujours déjà aguerris.

59) Ridicule – Patrice Leconte (1996)

La cour de Louis XVI à l’heure où elle baigne dans le ridicule de toutes les représentations aussi creuses que vaines dont elles se nourrit –alors que le peuple meurt de faim. Tendu, subtil et instructif.

60) Smoking/No Smoking – Alain Resnais (1993)

Tous les scénarios et tous les possibles, admirablement mis en scènes par tous les personnages imaginables que peuvent jouer des acteurs exceptionnels.

La vie n'est qu'une alternative de tous nos rôles possibles

La vie n’est qu’une alternative de tous nos rôles possibles, à combiner dans tous les  univers de nos fantasmes

61) Casino Royal –Martin Campbell (2006)

Le plus passionnant des James Bond. Décalé, intriguant et haletant.

62) Departure – Yojiro Takita (2008)

Dépaysement total et radical, un voyage inédit aux frontières de la vie et de ces existences poussées dans leurs derniers retranchements.

63) Dans la peau de John Malkovitch – Spike Jonze (1999)

Radicalement original, subversif, jouissif et fascinant.

64) La Vague – Dennis Ganzel (2008)

La mise en scène d’une expérience bouleversante sur les comportements de masse, dans un film parfait, absolument nécessaire. A voir impérativement.

65) L’Apollonide – Bertrand Bonello (2011)

Une ambiance, un monde qui baigne dans la mélancolie, l’humour et le cynisme qui aident à supporter la misère, de la beauté et de la grâce pour accentuer la tristesse.

Souvenirs doux-amers de la maison close

Souvenirs doux-amers de la maison close (Photo Haut et Court)

66) Le Pianiste – Roman Polanski (2002)

Après ce film, plus rien n’est comme avant dans la représentation que nous nous faisons de la Seconde Guerre Mondiale. Extrême, puissant et toujours juste.

67) Walk The Line – James Mangold (2005)

Un biopic passionnant, d’une très grande qualité.

68) Festen – Thomas Vinterberg (1988)

Ces drames familiaux qui n’ont d’équivalent que dans les pires guerres qui ont dévasté l’humanité par couches entières.

69) Borat – Larry Charles (2006)

Âmes sensibles s’abstenir. Humour du cinquième degré à tendance scatologique et loufoque, à ne recommander qu’aux fans de Sacha Baron Cohen.

70) Stalingrad – Jean-Jacques Annaud (2000)

Un film de guerre qui tire sa force dans la mise en scène de toute l’amplitude sensible et profondément dramatique qui se joue dans ce type de combats.

L'amour et la guerre visent le coeur

L’amour et la guerre visent le cœur (Photo Jean Jacques Annaud)

71) La Guerre des mondes – Steven Spielberg (2005)

La plus belle des sciences-fictions, grandiose, réfléchissante et submergeante.

72) La Route – John Hilcoat (2009)

La fin du monde envisagée selon la philosophie de Hobbes; une menace qui fait frémir et donne tout à repenser en anthropologie et en la capacité morale des individus.

73) Royal Affair – Nicolaj Arcel (2012)

Quand les passions subjectives et les petites histoires des hommes deviennent le moteur de la Grande Histoire. Des costumes mais surtout beaucoup de sentiments.

74) Lebanon – Samuel Moaz (2009)

La guerre intérieure, les dégâts et toutes les pertes psychiques de ces jeunes propulsés sur le front, jamais prêts à tuer l’ennemi quand son visage devient celui d’un homme particulier.

75) La Fille sur le Pont – Patrice Leconte (1999)

Aimer c’est tenter sa chance, ou prendre des risques fous… Une fable de toute beauté sur le désir, la chance en amour, et la magie qui préside à certaines rencontres.

Quand le désir se fait chance, il   dépasse l'amour

Quand le désir se fait chance, il transperce comme le jeu de l’amour et du hasard

76) Trois Enterrements – Tomee Lee Jones (2005)

77) La Ligne verte – Frank Darabont (2000)

78) Ocean’s Eleven – Steven Soderbergh (2001)

79) Rencontre avec Joe Black – Martin Brest (1998)

80) La Talentueux Mr. Rippley – Anthony Minghella (1999)

Vivre la vie d'un autre pour se donner la chance d'être aimé

Vivre la vie d’un autre pour se sentir exister enfin (Photo D.R.)

81) Eternal Sunshine of the Spotless Mind – Michel Gondry (2004)

82) L’Homme sans passé‎ – Aki Kaurismaki (2001)

83) American Beauty – Sam Mendes (1999)

84) Michael Kolhaas – Arnaud de Pallières (2013)

85) Négociateur – F. Gary Gray (1998)

Tout est négociable, surtout la vie

Tout est négociable, surtout la vie (Photo F. Gary Gray)

86) Complots – Richard Donner (1997)

87) Match point – Woody Allen (2005)

88) American Sniper – Ang Lee (2015)

89) Adam’s Apple – Anders Thomas Jensen (2005)

90) Edward aux mains d’argent – Tim Burton (1991)

    Nos failles et nos différences sont nos plus beaux talents (Photo D.R.)

Nos failles et nos différences sont nos plus beaux talents (Photo D.R.)

91) A tout jamais, la véritable histoire de Cendrillon – A. Tennant (1998)

92) The Hours – Stephen Daldry (2001)

93) Les Vestiges du jour – James Ivory (1993)

94) Paradise Now – Harry Abu Assad (2005)

95) Wall-E – Andrew Stanton (2008)

Il reste de l'amour jusqu'aux confins de l'univers

Après la fin du monde, il restera toujours de l’amour, jusqu’aux confins de l’univers (DR)

96) Des souris et des hommes – Gary Srise (1992)

97) In the Mood for Love – Wong Kar Wai (2000)

98) L’Enfant – Jean-Pierre et Luc Dardenne (2004)

99) La liste de Schindler – Steven Spielberg (1993)

100) Raiponce – Byron Howard (2010)

Les mères sont-elles des sorcières? Cherchez la raiponce

Les mères sont-elles des sorcières ? Cherchez la Raiponce… (Studios Disney)

101) Take Shelter – Jeff Nichols (2011)

102) La Dernière marche – Tim Robbins (1995)

103) Maria pleine de grâce – Joshua Marston (2004)

104) Un Prophète – Jacques Audiard (2009)

105) Snatch – Guy Ritchie (2000)

Le commerce rapproche les hommes les plus différents

Le commerce même le plus douteux, rapproche les hommes les plus différents (Photo Columbia TriStar Films)

106) Winter Sleep – Nuri Bilge Ceylan (2013)

107) Le Père Noël est une ordure – Jean-Marie Poiré (1982)

108) Bienvenue à Gattaca – Andrew Niccol (1997)

109) Asterix et Obelix, Mission Cléopâtre – Alain Chabat (2001)

110) Je vais bien ne t’en fais pas – Philippe Lioret (2006)

Toutes les folies sont permises pour faire son deuil (Photo P. Lioret)

Toutes les folies sont permises pour faire son deuil (Photo Ph. Lioret)

111) ’71 – Yann Demange (2014)

112) Timbuktu – Abderrahmane Sissako (2014)

113) Les Poings contre les murs – David MacKenzie (2013)

114) Jane Eyre – Franco Zefirelli (1996)

115) Good Bye, Lenin – Wolfgang Becker (2002)

Quand les frontières du politique touchent celles de l’imaginaire

Quand les frontières du politique touchent à celles de l’imaginaire

116) Lantana –Ray Lawrence (2001)

117) The GrandMaster – Wong Kar Wai (2013)

118) Fourmiz – Eric Darnell (1998)

119) A la Merveille – Terrence Malick (2012)

120) L’âge de Glace – Chris Wedge (2001)

A l'ère glacière, l'humour délirait existait déjà

A l’ère glacière, l’humour délirant existait déjà, on en a la preuve!  (Photo UFD)

121) Les Noces funèbres – Tim Burton (2004)

122) Dans ses yeux – J.J. Campanella (2009)

123) Kirikou – Michel Oncelot (2005)

124) La Leçon de piano – Jane Campion (1993)

125) La Vie de David Gale – Alan Parker (2003)

Et si Socrate avait raison? Une énigme parfaite!

Et si Socrate avait raison? Une énigme parfaite! (Photo United International Picture)

126) Temple Grandin – Mick Jackson (2010)

127) Lord of War – Andrew Niccol (2005)

128) Sleepers – Barry Levinson (1996)

129) La Crise – Colline Serreau (1990)

130) Slumdog Millionaire – Danny Boyle (2008)

Tous les malheurs peuvent être l’opportunité d'un savoir